NOM : Castellano. △ PRÉNOMS : Alejandro au choix. △ ÂGE : 22 ans. △ DATE & LIEU DE NAISSANCE : Au choix. △ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. △ ÉTUDES/MÉTIER : Etudiant (études au choix). △ STATUT : En couple. △ TRAITS DE CARACTÈRE : Doux-Sympathique-Impulsive-Romantique-Affectueux-Agréable-Attachant-Jaloux-Déterminé-. △ GROUPE : Au choix. △ CÉLÉBRITÉ : Steven R. McQueen (peu négociable).

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Je n'aime pas trop imposer les choses, voilà pourquoi l'histoire est relativement libre. Tout ce qu'il faut c'est qu'il vive à Barcelone depuis toujours ou alors depuis qu'il a dix ans voir moins vu que Taliyah l'a rencontré à l'âge de dix ans.



« Alejandro, toujours avec cette fille ? » dis-je en le saluant avant de grimacer à la prononciation de "cette fille". J’étais dans les couloirs du lycée, et avant que ce dernier vienne me saluer, je le vis embrasser ce qui lui servait de copine. Alejandro était mon meilleur ami et ce depuis l’âge de dix ans, âge auquel je l’ai rencontré. Par conséquent, on se connait par cœur et on s’adore. Et j’étais peut être, un peu amoureuse de lui. « Tu ne vas pas recommencer hein, t’es jalouse ou quoi ? » me dit-il l’air agacé mais en souriant tout de même. Moi, jalouse ? Oui bon peut être un peu, mais c’est juste que je n’aimais pas cette fille, je sais qu’il méritait mieux et qu’elle se foutait de sa gueule, je n’aimais pas ce genre de fille superficielle. « Jalouse, pas du tout, c’est juste que je ne la supporte pas et que je sais que tu mérites mieux. » lui dis-je en finissant de prendre mes affaires dont j’avais besoin qui se trouvaient dans mon casier. Il ne me répondit pas, on en avait déjà parlé plus d’une fois, mais il savait ce que j’en pensais, et je sais que je l’exaspérer mais bon, il m’aimait et même si je le faisais chier, ça ne changerait rien entre nous. C’était ainsi, on était parfois comme chien et chat, mais qui aime bien châtie bien, on était pratiquement inséparable et on se connaissait par cœur. Finalement, comme je l’avais prévu, il ne resta pas bien longtemps avec cette fille qui ne fit rien d’autre que lui briser le cœur, heureusement j’étais là pour le réconforter et lui faire oublier cette pouf. Quant à mes sentiments pour lui, je préférais les garder pour moi, j’avais bien trop peur de perdre notre amitié.

« Et si on emménageait ensemble ? » dis-je en souriant, assise dans le sable, Alejandro à mes côtés, en regardant la mer. C’était les vacances d’été et à la rentrée, nous irions tous les deux à l’université. Ce n’était pas une si mauvaise idée que ça, au moins on se séparerait plus. Je me voyais mal vivre sans ce dernier. Il ne répondit pas tout de suite avant de me regarder en souriant : « C’est une bonne idée, au moins on sera toujours ensemble ! ». Je souriais, j’étais contente qu’il soit d’accord. C’est ainsi qu’on prit la décision d’emménager ensemble. On passa le reste de la journée à la plage, à rire, parler de tout et de rien et s’amuser ensemble. J’avais pensé à lui avouer mes sentiments mais encore une fois, comme toujours je m’étais dégonflée au dernier moment. J’étais sûre qu’il ne ressentirait pas la même chose que moi. Finalement, on chercha tout l’été et on trouva un petit appartement sympathique, où on emménagea tous les deux. Mes parents eurent du mal à me laisser partir, mais bon je n’allais pas habiter toute ma vie chez eux, mais ils étaient contente que j’emménage avec Alejandro, il me pensait en sécurité au moins. Quant à moi, j’étais super heureuse d’habiter avec ce dernier.

Je ne savais pas si vivre avec Alejandro, était une si bonne idée que ça. D’un côté, c’était bien, j’aimais rentrer le soir, m’asseoir sur le canapé en sa compagnie, et simplement parler avec lui, de ma journée ainsi que de tout et de rien. Et il était là quand je n’allais pas bien, quand j’avais besoin de lui, à n’importe quel moment. Seulement mes sentiments pour lui s’amplifiaient, et vivre avec n’aidait en rien. Lorsque je le voyais, mon cœur battait la chamade, et je ne supportais pas de le voir dans les bras ou en compagnie d’une autre. C’est pourquoi je pris enfin mon courage à deux mains, un soir à l’appartement, on était tous les deux assis sur le canapé, je le regardais, mal à l’aise : « Alejandro, j’aimerais te dire un truc. », il me regarda en souriant : « ça à l’air sérieux, je dois avoir peur ? » dit-il en riant légèrement, je lui tapa légèrement sur l’épaule avant de reprendre : « Sois sérieux, enfaite c’est quelque chose que je voulais te dire depuis longtemps mais je n’osais pas, après tout on est meilleurs amis et je ne voulais surtout pas gâcher notre amitié mais d’un autre côté je ne peux pas garder ça pour moi plus longtemps… » Dis-je rapidement, oui quand je suis stressée ou mal à l’aise comme maintenant, j’ai l’habitude de me mettre à débiter un flot de paroles. Il prit mes mains comme pour me calmer : « Hey ralentit un peu, qu’est-ce que tu essayes de me dire ? ». Je soufflais un bon coup, disons que je n’étais pas vraiment douée avec les hommes, et là, il s’agissait de mon meilleur, c’était encore pire : « Pour faire simple, disons que je ressens bien plus que de l’amitié pour toi et ce depuis le lycée, seulement je n’ai jamais osé de le dire, parce que je pense que tu ne ressens certainement pas la même chose, après tout, je ne peux pas t’en vouloir, voilà je l’ai enfin dis, mais en tout cas je ne veux pas que cette révélation gâche notre amitié, je tiens beaucoup trop à toi.. », je ne pus finir mon speech que ce dernier m’embrassa pour me faire taire. Devrais-je comprendre qu’il ressentait la même chose pour moi. Je crois que ce fut le plus beau jour de ma vie. Et dire que j’avais gâché tellement d’années à laisser mes sentiments sous silence.

Cela fait maintenant deux ans qu'ils sont ensemble, et malgré quelques disputes, des hauts et des bas comme dans tout couple, ils s'aiment plus que jamais. Le seul problème c’est que Taliyah a récemment apprit qu'elle était enceinte. Chose qu'elle ne sait pas comment annoncer au jeune homme, surtout qu’il lui a bien fait savoir que lui, les enfants, ce sera peut être un jour mais pas tout de suite. Mais bon elle ne pourra pas le cacher longtemps, affaire à suivre…