Escape to Barcelona
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 "Vicky, Gemma, Barcelona"

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La Vida Loca

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MessageSujet: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 18:45

"Vicky, Gemma, Barcelona" 007_co10

Gemma Carmen Davis

Give a girl the right shoes and she can conquer the world.


❧ ONCE UPON A TIME.
NOM(S) ▲ Davis PRÉNOM(S) ▲ Gemma Carmen SURNOM(S) ▲ Gem' ÂGE ▲ 24 ans DATE DE NAISSANCE ▲ 04.07.1988. LIEU DE NAISSANCE ▲ Barcelone, Espagne ORIGINE ▲ Anglo-Espagnole STATUT CIVIL▲ Célibataire ORIENTATION SEXUELLE▲ Hétérosexuelle METIER ▲ Organisatrice d'évènements divers GROUPE Sangria


PRETTY LITTLE LIARS.

Possède une véritable envie de mordre la vie à pleine dents • Profite de chaque instant • Est Optimiste • Est particulièrement bavarde • Ne se laisse pas marcher sur les pieds • A horreur qu'on lui dicte ce qu'elle doit faire • Est très méfiante vis-à-vis de la gente masculine • Est une véritable romantique, mais le cache • Apprécie la différence, d'où son petit côté excentrique • Est une artiste passionnée à ses heures perdues • Possède des sens très développés, surtout l'odorat • Porte un tatouage, "You are what you feel." sous le sein gauche, côté coeur, et des silhouettes d'oiseaux derrière l'oreille droite, depuis ses 18 ans • A tendance à être jalouse • Raffole des bijoux • Est très observatrice • Déteste la trahison et le mensonge • Déborde d'affection • Rêve secrètement de trouver l'Amour

TIME AFTER TIME.


Chapitre 1

Dimanche matin, 10h48.
Je pressai le bouton d’appel qui permettait de joindre Georgina, la concierge de l’immeuble. Un grésillement, des bruits confus, puis sa douce voix maternelle se fit entendre.

« Señora Georgina Ramirez Del Villar, que puis-je faire pour vous ?
- Georgina, c’est moi, Gemma. Je suis sortie hier soir et j’ai, une fois de plus, oublié mes clés. Est-ce que tu pourrais venir m’ouvrir s’il te plait ?
- Gemma ! Mi Chiquita ! Qu’est-ce qu’on va faire de toi, hein ?
- Je sais Georgina, je sais…
- Bon, ne bouge pas, j’arrive ! »

De nouveaux crépitements s’échappèrent du haut-parleur, puis une série de pas et de tintements métalliques se firent entendre à mesure que la concierge se rapprochait pour voler à mon secours, son trousseau chargé de clés de tailles et de couleurs diverses accroché à sa ceinture. J’écrasai mon mégot de cigarette à l’instant même où la porte s’ouvrit et m’empressai de pénétrer dans le hall de l’immeuble, chaussures à la main. Après avoir reçu un énième sermon de la part de Georgina, qui finit tout de même par me raccompagner jusqu’à mon appartement et par m’ouvrir la porte, je regagnai mon salon, mais cette dernière ne partit pas tout de suite. Elle désigna du menton un paquet qui se trouvait sur la table basse, entre quelque magasines éparpillés et des ustensiles de peintures.

« Arrivé ce matin. Je crois que ça vient d’Angleterre. »

Je lui lançai un regard interrogateur auquel elle répondit en haussant les épaules, avant de déposer un baiser sur mon front et de quitter mon chez-moi en refermant doucement la porte derrière elle.
Je déposai mes affaires sur l’accoudoir du canapé, saisis le paquet, et m’assis en tailleur avant de le contempler un instant, perplexe. Après quelques minutes d’hésitation que je ne m’expliquais pas à moi-même, je finis par déchirer l’emballage habilement pour découvrir une grande boîte à chaussures recouverte d’autocollants et de découpages divers. Les larmes vinrent troubler mon regard à mesure que l’émotion me gagnait.
Cette boîte, je l’avais confectionnée de mes propres mains, il y a de ça des années, et je pensais l’avoir égarée en quittant Londres pour venir m’installer ici, à Barcelone. Elle renfermait tous mes secrets, toutes les petites babioles, lettres, cartes postales, qui me rappelaient les souvenirs et les moments les plus marquants de ma vie.
C’est avec une certaine appréhension, le cœur battant, que j’en retirai le couvercle, laissant le passé s’engouffrer dans la pièce.
Mon certificat de naissance.
Gemma Carmen Davis. Fille de Jonathan Montgomery Davis et de Carmen Almodovar-Morales. Née le 4 juillet 1988, à Barcelone.
Mes parents s’étaient rencontrés 3 ans plus tôt, en juin 1985, lorsque Jonathan étaient venu passer l’été chez son oncle. Une superbe nuit étoilée, une fête pleine de chaleur, de danses folles, un véritable coup de foudre. Je passai mes doigts sur une photo prise lors de cette fameuse soirée. Il faut dire que ma mère était loin d’être vilaine, et qu’on ne voyait qu’elle, son immense sourire, et ses yeux profonds, mystérieux, couleur ébène.
Mon père avait dû batailler avec ses parents pour les convaincre que c’était ici, à Barcelone, avec Carmen, qu’il voulait être, et nulle part ailleurs. Cette décision était, certes, plutôt immature, inconsciente, et insouciante, mais Carmen et Jonathan s’aimaient, il n’y avait aucun doute là-dessus. Je fis défiler la dizaine de photo de mes parents que j’avais subtilisé à mon père avant de partir. L’homme avec lequel j’avais grandi était totalement différent de celui qu’on voyait sourire, rire aux éclats, faire des grimaces, ou embrasser sa petite amie, sur ces fragments d’instants imprimés sur du papier glacé. C’était comme si il y avait eu un avant, et un après moi.
Ma mère était tombée enceinte alors qu’elle venait tout juste d’avoir 20 ans, et que mon père allait sur ses 22. Fruit de leur grande insouciance, la nouvelle de mon arrivée éclata comme une bombe au sein de leur couple, et Jonathan pris la fuite. Ma mère lui en avait voulu à mort et s’était mise à le détester, se sentant trahie. Cette déception, cette amertume que la perte de son âme-sœur avait fait naître en elle remplaçait toutes les larmes que n’importe quelle autre femme aurait pu verser, et Carmen s’arma de tout son courage, de toute sa vivacité, pour s’en sortir seule. Il était hors de question pour elle de faire disparaître l’enfant qui grandissait en elle, car même si Jonathan avait pris la fuite, il restait une preuve de cet amour qu’ils avaient partagé.
Lorsque je naquis, tout le quartier était au courant de l’histoire, puisque mes parents avaient été le couple dont tout le monde parlait, qui faisait rêver les jeunes espagnoles au prince charmant venu d’Angleterre. La nouvelle ne mit donc pas bien longtemps à parvenir aux oreilles de Jonathan, qui fut piqué de curiosité, une part de lui souhaitant connaître cet enfant qu’il avait conçu, et les remords le poussèrent à retrouver Carmen. Si la jeune femme refusa d’abord tout contact avec lui, il sut que tout espoir n’était pas perdu en apprenant qu’elle avait donné son nom au bébé. Davis. Gemma Carmen Davis. Gemma, pour que le prénom puisse être prononcé aussi bien en Espagnol qu’en Anglais.


Chapitre 2

Après plusieurs semaines passées à tenter de reconquérir la belle espagnole, Jonathan parvint à ses fins, et les deux amants se retrouvèrent. Seulement, si être de nouveau aux côtés de Carmen était tout ce qu’il souhaitait, il n’était absolument pas prêt à assumer son rôle de père. Il s’était attendu à replonger dans cette vie de fête, d’amour, d’eau fraîche et de promesses sans lendemain dont ils avaient le secret lorsqu’ils s’étaient rencontrés, mais Carmen avait bien changé ; être mère avait fait d’elle une vraie femme, mature, réfléchie, déterminée. Elle me donnait tout son amour, toute sa tendresse, j’étais une petite fille choyée, adorée, à qui tout souriait, sauf son père. J’étais devenue un obstacle entre ma mère et lui. S’il ne pouvait me détester, puisqu’il voyait la femme qu’il aimait dans mes yeux, il était incapable de m’aimer également. Jaloux de son propre enfant, aigri à l’âge de 25 ans comme un vieillard de 70, il chassait sa morosité en la noyant dans l’alcool, pouvant rester dans journée entière assis devant la télé, une bouteille de téquila sur les genoux. Cet homme me faisait peur, je ne le connaissais pas, et même ma mère ne s’étonnait pas que je ne l’appelle jamais « Papa ». Elle aussi était malheureuse, et apeurée, mais elle enfouissait toutes ces mauvaises choses au fond d’elle pour me donner le meilleur d’elle-même, me disant toujours que, quoi qu’il arrive, le soleil continuerait de briller.
Je grandis donc dans un foyer bercé d’illusions, déchiré, brisé, où tout sentiment était factice, mais j’avais hérité de ma mère son optimisme à toute épreuve et la soutenait du mieux que je pouvais en me contentant de ce que j’avais pour être heureuse.
Le matin de mes 11 ans, le soleil était haut dans le ciel de Barcelone, et je me levai avec un sentiment de calme, de sérénité qui me donnait l’impression d’être grandie, changée. Je m’en souvenais comme si c’était hier. J’étais descendue à la cuisine pour y trouver mon père, assis à la table, en train d’allumer 11 petites bougies colorées qui décoraient un gâteau au chocolat en forme de cœur à l’aide de son briquet. Je pris une des bougies que j’avais conservées précieusement dans ma boîte à secrets et la serrai dans ma main, me revoyant les souffler en faisant un vœu.


«C’est ta mère qui a fait le gâteau. Elle a aussi laissé ça pour toi. Tiens. »

Je revoyais encore le visage terne de mon père lorsqu’il me tendit la jolie carte d’anniversaire que ma mère m’avait faite elle-même. Je la cherchai dans la boîte et l’en sorti, pressant le papier contre mon cœur. « Joyeux Anniversaire, mon petit oiseau. 11 ans que tu es là, 11 ans que je t’aime, déjà. Attends-moi bien sagement, je reviens vite avec une surprise. Je sais qu’elle te plaira. Besós, Mi Amor. Mama. »
Je me revois encore me faire toute belle, mettant la robe que ma mère préférait me voir porter, coiffant mes cheveux, et m’assoir à la fenêtre en attendant son retour, ne quittant pas la petite route qui menait à notre maison des yeux, impatiente de découvrir quelle était ma surprise. Les heures sont passées, la nuit tomba. Carmen ne revint jamais. On lança un avis de recherche, la police ratissa toute la région, pas une trace, comme envolée. Cette période fut alors la plus sombre de ma vie. Jonathan perdit complètement la tête. Il était saoul du soir au matin, passait son temps à m’insulter, hurlant que tout était de ma faute, que tout était bien mieux avant, m’enfermant dans ma chambre, quand j’avais de la chance, ou bien dans le placard à balais, des heures entières, pour que je sois punie pour ce que je leur avais fait, à lui et à sa Carmen.
Je ne bronchais pas, je ne protestais jamais, parce que je savais que ce n’était pas de ma faute, et rien de tout ce qu’il pouvait dire ou faire ne pourrait changer cela. J’avais beau n’avoir que 12 ans, j’avais compris depuis bien longtemps que c’était lui qui l’avait fait fuir, et lui seul. Il se bornait à me faire croire que ma mère m’avait abandonnée après avoir enfin réalisé que je n’avais fait que détruire sa vie. Mais moi, j’avais la certitude qu’elle n’avait pas choisi de partir. Elle ne m’aurait jamais fait ça, je n’avais aucune raison d’en douter, et je le sentais au plus profond de moi. C’est cet espoir qui me tenait en vie et me donnait la force d’avancer, de m’épanouir, en apparence seule, mais ma mère accompagnait chacun de mes gestes, chacune de mes pensées.


Chapitre 3

Un soir, c’est habitée par l’esprit et la force de ma mère que je décidai de fuir à mon tour. J’avais alors 13 ans, et une envie de liberté dévorante. Je voulais voir le monde et me prouver à moi-même que le Bonheur m’attendait, quelque part, loin d’ici. C’est donc un sac plein à craquer sur le dos que je franchis le pas de la porte, au beau milieu de la nuit, quand une main charnue m’agrippa violemment par le bras et me projeta à l’intérieur de la maison.

« JE T’INTERDIS D’ALLER OU QUE CE SOIT CARMEN ! TU M’ENTENDS ?! TU NE ME QUITTERAS PAS CETTE FOIS! PLUS JAMAIS ! »

D’abord mortifiée par la vision de Jonathan dans un de ces accès d’ébriété les plus violents, je compris, en l’entendant m’appeler par le nom de ma mère, dans quel état de détresse il se trouvait. Je me relevai donc et me dressai devant lui, plantant mon regard dans le sien.

« Tu sais bien que je ne suis pas Carmen, Jonathan. Carmen est partie. Elle t’a quittée. Aujourd’hui c’est moi, Gemma, sa fille, qui te quitte. Tu es seul parce que c’est ce que tu as voulu. »

Je vis le visage de l’homme qui se tenait en face de moi se décomposer, puis il tomba à genoux et des larmes envahirent son visage. Il posa sa grande main sale sur le mien et murmura d’une voix brisée « Je te demande pardon. »

A partir de cette nuit-là, je crois que Jonathan pris conscience que j’étais tout ce qui lui restait de Carmen, la femme qui avait fait son bonheur, et son plus grand malheur, alors tout changea.
Mon père décida de sauver ce qu’il restait de notre famille, de reprendre nos vies en mains. Je ne l’en aurais jamais cru capable, et pourtant, un semblant d’équilibre s’installa peu à peu dans ce qui avait été un fiasco total. Nous partîmes pour l’Angleterre, laissant derrière nous les vestiges de notre malheureuse histoire. Ce sont mes grands-parents qui prirent soin de moi pendant un temps, tandis que mon père reprenait ses études, tentait de se reconstruire. Ils étaient bons avec moi, et comme ils ignoraient tout de mon sombre passé, je pouvais être quelqu’un de nouveau avec eux, et m’épanouir sans qu’on ne me reproche rien. Je voyais très peu mon père, et c’était mieux ainsi.
J’allais à l’école et devenais peu à peu une élève brillante avec des facilités qui ne laissaient pas les professeurs indifférents. En dehors des cours, je m’adonnais à diverses formes d’art, en commençant par la danse, puis la musique, le violon étant mon instrument favori, et enfin la peinture. La peinture était une véritable forme d’expression pour moi. Je transcrivais toutes mes émotions, dévoilais mes secrets, et laissais parler mon cœur à travers mes esquisses, mes toiles, et y trouvait un vrai sentiment de calme. Peindre m’apaisait, tout simplement.
Le jour de mes 18 ans, j'eu l'idée de me faire tatouer. Je raffolais des tatouages. Ils étaient pour moi une véritable forme d'art, comme peints sur le corps pour toujours. Je choisis donc une citation d'Henry James: "You are what you feel.", pour me rappeler que j'étais la seule à pouvoir choisir qui j'étais, que j'étais définie par mes sentiments, et non par l'opinion que les gens se faisaient de moi. Où se créent les sentiments véritables, si ce n'est dans notre coeur? C'est pourquoi je demandai à me faire tatouer cette phrase sous le sein gauche, au plus près du palpitant. Mon second tatouage représentait trois petites silhouettes d'oiseaux, juste derrière l'oreille, souvenir de ce surnom que ma mère m'avait donné, cher à mon coeur. Son oiseau.
Je devins une jeune fille pleine de vivacité, d’ambition, et mes rêves me poussaient à me dépasser. Lorsque je tombais, je me relevais toujours, et ne laissais rien ni personne m’abattre. C’est grâce à cette détermination, que je puisais toujours dans le souvenir de ma mère, que j’obtins mon diplôme de fin de lycée haut la main, et parti étudier le business international, le commerce, le marketing et les arts à Oxford. J’avais soif d’apprendre et tout ce que je faisais me fascinait.
En revanche, je ne laissais pas beaucoup de place aux sentiments dans ma petite vie déjà si occupée. Quelques flirts de temps à autres, le temps d’une nuit, mais jamais rien de bien sérieux. Je savais de quoi étaient capables les hommes pour avoir vu mon père détruire ma mère et me montrais toujours méfiante à leur égard. Je concentrais plutôt toute mon énergie dans mon travail, et me spécialisai rapidement dans l’organisation d’évènements, tels que des défilés de mode, des expositions d’art, des spectacles, et même des mariages.
C’est à 22 ans que je fus chargée d’organiser le plus faramineux des mariages. Au départ réticente, je me laissai prendre au jeu, et le jour venu, j’admirai mon résultat, emplie de fierté. La mariée était resplendissante, les invités ravis, et le mari plus amoureux que jamais. Cette petite bouffée d’air frais me redonna foi en l’Amour, en quelque sorte, et je me mis à rêver secrètement de trouver l’âme-sœur à mon tour.
Les mois passèrent, et mon patron était si content de mon travail qu’il décida de me promouvoir. Pour cela, j’avais le choix d’être mutée en différents endroits qui regorgeaient de soleil, pour changer un peu d’air et quitter la brume de Londres. Parmi cette liste de destinations se trouvait Barcelone. Ces quelques lettres inscrites noir sur blanc firent office de déclic. Barcelone. Une nouvelle vie, un nouveau départ. Ma décision était prise.





Je refermai la boîte et la reposai sur la table.
Je ne regrettais en rien le fait de m'être installée à Barcelone. J'étais tout à fait prête à m'ouvrir au monde, à me laisser guider par mon instinct, et j'avais la nette impression que quelqu'un m'attendais, quelque part. J'étais revenue exactement à l'endroit où tout avait commencé, et ma mère ne m'avait jamais semblé aussi proche.

To be continued...






Spoiler:


Dernière édition par Gemma C. Davis le Dim 5 Fév - 13:01, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 18:54

Zinser "Vicky, Gemma, Barcelona" 2603259518

Je suis totalement fan de cette nana *__*

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (a)

Et réserve moi un lien de la mort :D
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 19:50

Bienvenue ^^
J'ai remis la fiche au bon endroit "Vicky, Gemma, Barcelona" 2176152401
Le code n'est pas complet ^^
Bonne chance pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 20:07

Bienvenue parmi nous
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 23:03

Gillian "Vicky, Gemma, Barcelona" 2837247228 on la voit tellement peu et pourtant.
bonne chance pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyVen 3 Fév - 23:37

Je m'excuse auprès de Léà-Cristina pour avoir édité ma fiche au mauvais endroit, et merci pour l'avoir remise à sa place! Désolée de ma maladresse! ^^'

Merci beaucoup à vous les filles, je m'arme de courage et de patience pour composer une fiche digne de ce forum!

Et pour Bluebell, c'est noté, un lien de folie à prévoir! :D
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptySam 4 Fév - 8:04

Héhé génial (a)

Le code est bon, je te l'ai validé !
Bon courage pour le reste de l'histoire "Vicky, Gemma, Barcelona" 2837247228
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptySam 4 Fév - 13:20

Bienvenue ici
Gillian excellent choix "Vicky, Gemma, Barcelona" 2837247228
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptySam 4 Fév - 19:25

Binvenuuuuee!!

Je te réponds ici direct mais jadore tout ce que tu as mis *-* !!!!!
Hate de pouvoir jouer avec tou ! (et d'aller vérifier cette histoire de tatouage ;) hehe coquine)
Tas bien fais de me soumettre Gillian au final tout le monde aime xD
Hâte de lire la suite et qu'on s'amuse :D
:heart:
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyDim 5 Fév - 12:49

Hahaha, mais quel chenapan, ce Joa'! ;)

Evidemment que tout le monde aime Gillian, comment ne pas l'aimer?!

Eh bien tu vas être content, parce que... FICHE TERMINEE!
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyDim 5 Fév - 12:55

"Vicky, Gemma, Barcelona" 2578313619 "Vicky, Gemma, Barcelona" 2953299389 j'adore !!!!
ton histoire est superbe !! (et le chenapan veut encore plus voir ce tatouage "Vicky, Gemma, Barcelona" 2176152401 ) =D pas déçus du tout c'est chouette :P bravo "Vicky, Gemma, Barcelona" 3011711443
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyDim 5 Fév - 13:02

On s'occupera du tatouage en temps et en heure! ;)

Merci beaucoup en tout cas! ♥♥♥
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyDim 5 Fév - 13:31

Fiche validée ma jolie *__*

N'oublie pas de me garder une place dans tes liens hihi "Vicky, Gemma, Barcelona" 2176152401
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" EmptyDim 5 Fév - 17:21

*fait la danse de la joie* "Vicky, Gemma, Barcelona" 2603259518

Merci Blue !!! ♥️
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MessageSujet: Re: "Vicky, Gemma, Barcelona"   "Vicky, Gemma, Barcelona" Empty

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