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La Vida Loca
 |  Sujet: A. Taliyah Sànchez ► If it's cold outside, show the world the warmth of your smile. Ven 27 Jan - 22:50 | |
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Adela Taliyah Sànchez
Until you make peace with who you are, you'll never be content with what you have.
❧ ONCE UPON TIME. NOM(S) ▲ Sànchez. PRÉNOM(S) ▲ Adela Taliyah. SURNOM(S) ▲ Liyah, Lily. ÂGE ▲ Vingt-deux ans.DATE DE NAISSANCE ▲ 13.11.1989. LIEU DE NAISSANCE ▲ Barcelone. ORIGINE ▲ Américaine et espagnole. STATUT CIVIL▲ En couple. ORIENTATION SEXUELLE▲ Hétérosexuelle. METIER ▲ Etudiante en stylisme. GROUPE ▲ Flamenco.
❧ PRETTY LITTLE LIARS.
► Taliyah a deux passions dans la vie : La musique et la mode. ► Elle rêve de devenir styliste un jour. ► Elle crée et porte ses propres vêtements. ► Elle chante pratiquement tout le temps, dans la rue, chez elle, sous la douche, en public ou non. ► Elle a d'ailleurs une belle voix. ► Elle fait de la danse depuis toute petite ► Elle prend toujours la vie du bon côté, elle a de la bonne humeur à revendre. ► Elle aime dessiner, surtout des vêtements de sa propre imagination. ► Le chocolat est son pêché mignon. ► Elle n'est pas du genre à se prendre la tête pour un rien. ► C'est un vrai moulin à parole, et parfois lorsqu'elle commence à parler, il est difficile de l'arrêter. ► Elle se met à parler vite lorsqu'elle est nerveuse. ► Elle aime les bijoux, notamment les bagues. ► Elle est très ordonnée et ne supporte pas le dérangement. ► C'est un vrai petit rayon de soleil, vous la verrez toujours accompagné de son magnifique sourire. ► Elle croit, peut être à tord, au prince charmant. ► Petite, on lui a détecté une insuffisance rénale. ► Elle a été greffée d'un rein depuis. ► Elle connaît l'hôpital comme sa poche. ► Elle est fidèle et loyale en amour comme en amitié. ► Elle aime prendre des tas de photos, cela fait de mémorables souvenirs. ► Elle écoute pratiquement tout le temps de la musique. ► Elle est parfois maladroite et fait tout tomber. ► C'est une vraie pile électrique, elle ne tient pas en place et se fatigue difficilement. ► Elle aime les enfants. ► Elle travaille en tant que serveuse pour pouvoir payer ses études. ► Elle bénéficie également d'une bourse qui l'aide. ► Elle ne remet jamais au lendemain ce qu'elle peu faire de suite. ► Elle aime tout de même faire la fête et s'éclater avec ses amis. ► Elle ne boit pas d'alccol et ne fume pas. ► Elle est rigolote et a toujours le mot pour rire. ► Elle sait réconforter les gens, c'est comme un don chez elle. ► Il lui arrive de rire toute seule et ce pour aucune raison. ► Elle est un peu "fofolle" sur les bords. ► Elle sait manier les armes à feu. ► Elle aime danser comme une folle dans sa chambre avec la musique à fond. ► Elle aime la cuisine italienne. ► Elle aime les animaux. ► Elle est très protectrice et affectueuse auprès des personnes qui lui sont chers.
❧ TIME AFTER TIME.
« Félicitations c’est une petite fille » dit la sage-femme toute souriante à l'égard de mes parents. Ma mère venait de passer plusieurs heures de travail en salle d’accouchement. Oui mes parents avaient préférés attendre ma naissance pour savoir que j’étais une petite fille. Ma mère fut la plus heureuse des femmes lorsqu’elle me prit dans ses bras pour la première, je me rappelle que ma mère m’a dit, que j’étais le plus belle enfant du monde. Bien qu’il est vrai que tout est relatif car n’importe quel parent dira que son enfant est le plus beau. Mes parents furent alors comblés, ils avaient attendu si longtemps avant de pouvoir enfin m’avoir. Ils étaient plus qu’heureux, on pouvait les voir rayonner dans la petite chambre de l’hôpital où mes parents se trouvaient après l’accouchement. Ma mère regarda alors mon père en souriant : « On va l’appeler Adela Taliyah Sànchez. », mon père, tout sourire, me regarda avant de croiser le regard de ma mère. « C’est un excellent choix ma chérie. Tayliah, ça te plait ? » me dit-il en prenant mes tout petits doigts dans les siens. L’histoire de ma naissance, ma mère me la racontait tellement de fois que je la connais par cœur. En tout cas, un jour je serais à la place de mes parents j’en suis sûr, je veux connaître un bonheur aussi merveilleux que le leur, ne serait-ce que dans leur couple. Par la suite je grandis auprès de deux parents aimants et attentionnés et je n’ai jamais manqué de rien, et surtout pas d’amour, bien au contraire.
« Maman, j’aimerais bien avoir une petite sœur » Dis-je le plus naturellement possible, j’étais alors âgée de seulement cinq ans, et j’enviais mes copains et copines qui eux n’était pas enfant unique. Moi aussi je voulais une petite sœur avec qui je pourrais jouer. Parce que jouais toute seule ce n’est pas drôle d’abord. Ma mère me regarda alors avec un léger sourire. « Tu sais, ma chérie, ce n’est pas si facile que ça, pis moi ça me suffit d’avoir une merveilleuse fille. ». A vrai dire, ma mère avait déjà eu du mal à m’avoir, alors elle ne préférait pas espérer pour rien, mais elle était déjà comblée par ma présence. Je lui souriais alors et la serra fort dans mes bras. Mon père, assis à côté de nous ajouta : « Oh oui une, ça suffit largement, je n’ose même pas imaginer deux comme toi ! » dit-il en riant. Et il se joignit à notre étreinte. J’ai toujours était proche de mes parents, et maintenant encore, je les adore tout simplement, je les admire et les remercie d’avoir fait de moi ce que je suis aujourd’hui. On a toujours était une sorte de famille parfaite, et pas seulement en photo, c'était réel. C'est peut être pour cela, que la famille est très importante à mes yeux.
A l’âge de huit ans, ma vie bascula. On me diagnostiqua une insuffisance rénale en phase terminale. Au départ, j’étais traité pour une toux, mais enfaite c’était mon corps qui se remplissait d’eau dû au fait que mes reins ne fonctionnaient plus et que par conséquent, ils ne pouvaient plus assurer leur rôle. Je du rentré à l’hôpital en urgence. J’en ai que de vagues souvenirs, mais je sais que ça été une des pires choses qui est arrivé à mes parents. En même temps, ça se comprend, votre enfant est malade et vous ne pouvez rien faire à part attendre. Le médecin vint alors voir mes parents pour tout leur expliquer : « Votre fille a une insuffisance, c’est-à-dire que ces reins ont cessé de fonctionner, par conséquent, elle devra dialyser jusqu’à ce qu’on puisse lui trouvé un donneur compatible, mais ne vous inquiétez, c’est encore une enfant, et les enfants sont prioritaires sur la liste d’attende. ». Ne pas s’inquiéter, ils étaient plutôt drôle les médecins, comment des parents, sachant que leur enfant est malade, pouvait ne pas s’inquiéter. Je restais une semaine à l’hôpital et pu finalement sortir, sans vraiment trop comprendre tout ce que cela impliquer. Mais tous les deux jours, je devais retourner à l’hôpital pour faire mes dialyses. Malgré tout, je réussis à avoir une scolarité à peu près normale. Tout ce qu’on pouvait faire maintenant, c’est d’attendre le coup de fil qui nous annoncera que l’on avait trouvé un rein pour moi.
Six mois après la nouvelle, je dialysais encore toutes les semaines, je m’y étais d’ailleurs habituée, même si ça n’avait rien de marrant d’être branché à une machine qui faisait ce que nos reins sont à la base censés faire. J’étais au salon, sur le canapé avec mes parents, nous regardions un film tranquillement, on était un vendredi, je m’en souviens lorsque le téléphone sonna. Ma mère décrocha alors : « Oui allô ? », « Oui bonjour, ici Dr. Fernando, je vous appelle à propos de votre fille, il faudrait que vous veniez de suite, nous avons trouvé un rein, il faut que nous passions des tests afin de savoir si elle est compatible ou pas. » Je n’entendais pas ce que la personne au bout du fil disait mais je vis une lueur des espoirs dans les yeux de ma mère, et de la surprise sur son visage : « Maintenant ? Ok on arrive immédiatement dans ce cas, merci docteur, au revoir ». Je regardais alors ma mère essayant de deviner ce qui se passait, je crus comprendre mais n’étais pas sûre. Elle regarda alors à tour de rôle, mon père et moi, toute sourire avant d’annoncer : « Ils ont trouvés un rein, mais tu dois aller faire des examens pour voir si c’est bon, aller vite, habille-toi, faut qu’on y aille tout de suite ! ». Tout le monde s’habilla alors le plus rapidement possible et nous voilà partit pour l’hôpital pour peut être, je l’espérais, une nouvelle vie. Une fois arrivée, on me fit tout les tests possibles et le médecin nous informa que maintenant il fallait attendre les résultats, qu’il aurait le lendemain matin et que si c’était bon, je rentrerais directement au bloc pour qu’on m’opère.
Le lendemain matin, je retournai donc à l’hôpital et pour mon plus grand bonheur, enfin plutôt celui de mes parents, car à l’époque je ne réalisais pas encore tout ce qui m’arrivait, j’étais encore jeune après tout, le rein était compatible et on me préparer pour aller au bloc opératoire. Bizarrement, je n’étais pas stressé, peut être parce que je ne savais pas ce que tout cela impliquait, et que j’étais encore jeune et innocente, et que je vivais dans mon petit monde, comme tous les enfants. Ce n’était pas du tout le cas de mes parents. Je me souviens encore de leur visage inquiet avant que je rentre au bloc, j’étais sur un lit d’hôpital, prête à entrer au bloc : « Tout vas bien se passer ma chérie tu verras. », « Ta mère a raison ma chérie », ils n’avaient pas l’air de vraiment y croire, ils me firent chacun un bisou sur le front et les médecins m’emmenèrent, c’est à ce moment, que je m’inquiéta, je voulais que mes parents viennent avec moi, malheureusement ce n’était pas possible. Je me souviens par la suite m’être endormie et réveillé en salle de réveil. Du côté, de mes parents, ils sont restés à l’hôpital pendant les longues heures que dura mon opération, et lorsqu’ils virent arriver le médecin, ils se précipitèrent vers lui, espérant entendre une bonne nouvelle, le médecin les regardèrent avec un large sourire : « Je vous rassure, tout s’est bien passé, votre fille est en salle de réveil, vous pourrez bientôt la voir ». Mes parents furent rassurés, ils purent enfin souffler. C’est ainsi que je commençais une nouvelle vie avec un nouveau rein.
« Alejandro, toujours avec cette fille ? » dis-je en le saluant avant de grimacer à la prononciation de "cette fille". J’étais dans les couloirs du lycée, et avant que ce dernier vienne me saluer, je le vis embrasser ce qui lui servait de copine. Alejandro était mon meilleur ami et ce depuis l’âge de dix ans, âge auquel je l’ai rencontré. Par conséquent, on se connait par cœur et on s’adore. Et j’étais peut être, un peu amoureuse de lui. « Tu ne vas pas recommencer hein, t’es jalouse ou quoi ? » me dit-il l’air agacé mais en souriant tout de même. Moi, jalouse ? Oui bon peut être un peu, mais c’est juste que je n’aimais pas cette fille, je sais qu’il méritait mieux et qu’elle se foutait de sa gueule, je n’aimais pas ce genre de fille superficielle. « Jalouse, pas du tout, c’est juste que je ne la supporte pas et que je sais que tu mérites mieux. » lui dis-je en finissant de prendre mes affaires dont j’avais besoin qui se trouvaient dans mon casier. Il ne me répondit pas, on en avait déjà parlé plus d’une fois, mais il savait ce que j’en pensais, et je sais que je l’exaspérer mais bon, il m’aimait et même si je le faisais chier, ça ne changerait rien entre nous. C’était ainsi, on était parfois comme chien et chat, mais qui aime bien châtie bien, on était pratiquement inséparable et on se connaissait par cœur. Finalement, comme je l’avais prévu, il ne resta pas bien longtemps avec cette fille qui ne fit rien d’autre que lui briser le cœur, heureusement j’étais là pour le réconforter et lui faire oublier cette pouf. Quant à mes sentiments pour lui, je préférais les garder pour moi, j’avais bien trop peur de perdre notre amitié.
« Et si on emménageait ensemble ? » dis-je en souriant, assise dans le sable, Alejandro à mes côtés, en regardant la mer. C’était les vacances d’été et à la rentrée, nous irions tous les deux à l’université. Ce n’était pas une si mauvaise idée que ça, au moins on se séparerait plus. Je me voyais mal vivre sans ce dernier. Il ne répondit pas tout de suite avant de me regarder en souriant : « C’est une bonne idée, au moins on sera toujours ensemble ! ». Je souriais, j’étais contente qu’il soit d’accord. C’est ainsi qu’on prit la décision d’emménager ensemble. On passa le reste de la journée à la plage, à rire, parler de tout et de rien et s’amuser ensemble. J’avais pensé à lui avouer mes sentiments mais encore une fois, comme toujours je m’étais dégonflée au dernier moment. J’étais sûre qu’il ne ressentirait pas la même chose que moi. Finalement, on chercha tout l’été et on trouva un petit appartement sympathique, où on emménagea tous les deux. Mes parents eurent du mal à me laisser partir, mais bon je n’allais pas habiter toute ma vie chez eux, mais ils étaient contente que j’emménage avec Alejandro, il me pensait en sécurité au moins. Quant à moi, j’étais super heureuse d’habiter avec ce dernier.
Je ne savais pas si vivre avec Alejandro, était une si bonne idée que ça. D’un côté, c’était bien, j’aimais rentrer le soir, m’asseoir sur le canapé en sa compagnie, et simplement parler avec lui, de ma journée ainsi que de tout et de rien. Et il était là quand je n’allais pas bien, quand j’avais besoin de lui, à n’importe quel moment. Seulement mes sentiments pour lui s’amplifiaient, et vivre avec n’aidait en rien. Lorsque je le voyais, mon cœur battait la chamade, et je ne supportais pas de le voir dans les bras ou en compagnie d’une autre. C’est pourquoi je pris enfin mon courage à deux mains, un soir à l’appartement, on était tous les deux assis sur le canapé, je le regardais, mal à l’aise : « Alejandro, j’aimerais te dire un truc. », il me regarda en souriant : « ça à l’air sérieux, je dois avoir peur ? » dit-il en riant légèrement, je lui tapa légèrement sur l’épaule avant de reprendre : « Sois sérieux, enfaite c’est quelque chose que je voulais te dire depuis longtemps mais je n’osais pas, après tout on est meilleurs amis et je ne voulais surtout pas gâcher notre amitié mais d’un autre côté je ne peux pas garder ça pour moi plus longtemps… » Dis-je rapidement, oui quand je suis stressée ou mal à l’aise comme maintenant, j’ai l’habitude de me mettre à débiter un flot de paroles. Il prit mes mains comme pour me calmer : « Hey ralentit un peu, qu’est-ce que tu essayes de me dire ? ». Je soufflais un bon coup, disons que je n’étais pas vraiment douée avec les hommes, et là, il s’agissait de mon meilleur, c’était encore pire : « Pour faire simple, disons que je ressens bien plus que de l’amitié pour toi et ce depuis le lycée, seulement je n’ai jamais osé de le dire, parce que je pense que tu ne ressens certainement pas la même chose, après tout, je ne peux pas t’en vouloir, voilà je l’ai enfin dis, mais en tout cas je ne veux pas que cette révélation gâche notre amitié, je tiens beaucoup trop à toi.. », je ne pus finir mon speech que ce dernier m’embrassa pour me faire taire. Devrais-je comprendre qu’il ressentait la même chose pour moi. Je crois que ce fut le plus beau jour de ma vie. Et dire que j’avais gâché tellement d’années à laisser mes sentiments sous silence.
Cela fait maintenant deux ans que nous sommes ensemble. Je suis toujours étudiante, en stylisme, la mode étant une passion pour moi. Et puis je continue toujours de vivre ma vie à pleine pleinement, niveau santé, je vais bien, simplement que je fais un bilan tous les deux-trois mois à l’hôpital. Enfin je continue de croquer ma vie à pleine dents et d’en profiter. Le seul problème c’est que j’ai récemment appris que j’étais enceinte. Chose que je ne sais pas comment annoncer a u jeune homme, surtout qu’il m’a bien fait savoir que lui, les enfants, ce sera peut être un jour mais pas tout de suite. Mais bon je ne pourrais pas le caché longtemps, affaire à suivre…
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- Spoiler:
PRÉNOM/PSEUDO ▲ Madina/Mady. PRÉSENCE ▲ 7/7, enfin ça dépend du travail que j'ai à faire par rapport au cours. QUELQUE CHOSE A DIRE SUR LE FORUM ? ▲ Je l'aime déjà  . COMMENT L'AS-TU CONNU ? ▲ Via facebook (:. CÉLÉBRITÉ ▲ Kat Graham. CODE ? ▲ La vida loca a Barcelona AUTRE ? ▲ Je vous aimes surtout ma femme 
Dernière édition par A. Taliyah Sànchez le Lun 30 Jan - 16:25, édité 25 fois |
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