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La Vida Loca
| Sujet: Show must go on Ven 13 Juil - 22:57 | |
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Riker Caleb-Klein Afont
Un happy end ça dépend du point de vue où l'histoire s'arrête
❧ ONCE UPON A TIME. NOM(S) ▲ ici. PRÉNOM(S) ▲ Riker Caleb-Klein SURNOM(S) ▲ Cal ÂGE ▲ 24 ans DATE DE NAISSANCE ▲ 8 novembre 1987 LIEU DE NAISSANCE ▲ Los Angeles, Californie, États-Unis ORIGINE ▲ Franco-Américain STATUT CIVIL▲ Célibataire ORIENTATION SEXUELLE▲ Hétérosexuel METIER ▲ Professeur maternelle GROUPE ▲ Corrida
❧ PRETTY LITTLE LIARS.
Aime le soleil • Aime la musique • N'aime pas les cons • A une Chevrolet grise coupée cabriolet • A eut une enfance très heureuse • N'aime pas les légumes • Adore nager • Ne peux pas s'empêcher de draguer • Aime les fêtes l'alcool etc • A toucher à la drogue après la mort de sa mère mais à très vite arrêter • N'aime pas l'odeur de la cigarette • Aime rentrer aux USA parfois voir sa famille qu'il connait mal • Aime avoir toutes les filles à ses pieds • Aime le chocolat et les bonbons • A une veste en cuir fétiche • Chante comme une casserole sous sa douche • Aime la tequila • Déteste les mauvais conducteurs • A un tatouage entre les omoplates • A toujours raison ❧ TIME AFTER TIME.
La naissance est un acte sonore, une action qui engendre le bruit : chaque naissance est un cri qui se déroule, se répercute à travers la vie.
Ma vie elle commence dans un grand hôpital réputé de la ville de Los Angeles en Californie. Pour un mois de novembre la chaleur était encore assez présente, le soleil brillait dans le ciel. Ma mère était installée à la terrasse d'un café en train de boire un soda frais quand elle a sentie les premières contractions. Au début elle n'en a pas tenu compte pensant simplement que je donnais des petits coups de pieds. Mais les coups sont devenus plus forts et plus rapprochés les uns des autres et elle a finit par comprendre que le travail avait commencer. Et puis dans l'ambulance elle a perdue les os et là c'était certain son petit bonhomme allait enfin montrer le bout de son nez après neuf longs mois d'attente. Une fois à l'hôpital mon père est arrivé pour assister à ma naissance. Ils n'avaient pas encore parlé de prénoms et alors que ma mère commençait à se détendre après la péridurale elle a souffler à mon père. " Je veux qu'on l'appelle Riker Caleb-Klein. " " C'est le nom d'un parfum ça. " " Arrêtes de rire bébé j'ai dit Caleb pas Calvin et je suis très sérieuse ! " " Bien ma puce alors ce sera Riker Caleb-Klein " Le jeune homme dépose un doux baiser sur les lèvres de sa femme en souriant et un autre sur son front en dégageant les mèches de cheveux qui lui colle. Bien entendu ma maman n'appréciait pas le fait qu'il la voit rouge et en sueur comme ça mais mon père lui la trouvait très belle et en est tombé encore plus amoureux à ce moment-là. Elle donnait naissance à leur fils et jamais il ne pourrait oublier cet instant, il resterait graver dans sa mémoire à jamais. Et enfin un petit cri se fait entendre après des heures de travail voilà qu'enfin le beau petit bébé apparait. On me dépose dans les bras de ma mère qui m'embrasse plusieurs fois et me serre tendrement ainsi que mon père. Une parfaite petite famille.
Et nous le sommes resté. Parfaite petite famille. Nous étions heureux lorsque j'étais enfant tout se passait bien je grandissais entourer de mes deux parents qui ne voulaient pas d'un autre enfant même si ma mère aurait aimé avoir un autre petit bébé elle savait que son mari ne voudrait pas et au fond avoir son petit prince lui suffisait. J'étais aimé, câliné, j'avais tout ce que je désirais. Un joujou ? Un doudou ? Un cadeau ? Tout. J'obtenais toujours ce que je voulais. Et j'aimais ça. " Maman, maman ! " " Oui mon ange ? " " Je peux avoir une voiture électrique dis ? " " Mais elle est chère cette voiture. " " S'il te plaiiiit. " Bien entendue quand je suis rentré à la maison je serais ma voiture dans mes petits bras. Alors que je sortais de la voiture de ma mère un petit garçon m'observait du perron de la maison face à la notre. J'ai tourné les yeux vers lui et il détourné le regard. J'ai souri et traverser la route en tendant la main vers lui. " Salut moi c'est Caleb-Klein mais tu peux m'appeler juste Caleb. Tu veux être mon copain ? " Ce petit garçon c'est Noom-Zachary mon meilleur ami. Enfin ancien meilleur ami mais ça on le verra plus tard. J'ai plus ou moins grandit avec lui-même si il était plus jeune que moi on s'adoraient. Il est vite devenu mon meilleur ami on étaient tout le temps ensemble et moi je le défendais toujours. Quand il avait un soucis je prenais soin de lui, à l'école par exemple quand on s'en prenait à lui c'est moi qui le défendait et qui tabassait les autres garçons. Moi ça m'éclatait parce que je suis vite devenue un petit caïd et comme on étaient tous les deux fils uniques ben forcément on est vite devenus frère de coeur quoi. Je pense pas que je l'aurais aimé plus si il avait été mon vrai frère. Nous venions juste de quitter les Etats-Unis pour l'Espagne et Barcelone pour être précis et nous venions d’emménager.
" Riker Caleb-Klein Afont ! Ralentis immédiatement ! Tu sais parfaitement que je déteste quand tu roules aussi vite ! " Ha ma maman je l'aime tellement. J'ai rapidement grandit et je suis devenu un mec plutôt canon, je plaisais à toutes les filles, je sortais et buvais presque tous les soirs, je profitais de ma vie de jeune adulte comme je le pouvais. Je viens de finir ma seconde année d'université lorsqu'un soir je vais chercher ma mère au travail comme presque chaque soir. J'aime la vitesse et je connais ma voiture par coeur et cette route également. Je fais souvent des courses sur circuit et je sais comment ma voiture régit même sur une route mouillée comme c'est le cas ce soir là. Elle sait que je roule très bien mais ça ne l'empêche pas d'avoir peur chaque fois qu'elle monte avec moi. Je finis par ralentir pour la rassurée mais alors que je m'apprête à prendre la sortie pour rentrer à la maison une voiture sans phare arrive en contresens et me percute. Ma voiture fait plusieurs embardées avant de finir encastrée dans un arbre. Je crois que je me suis évanoui parce que lorsque j'ai ouvert les yeux les pompiers étaient déjà sur les lieux de l'accident et tentaient de me désincarcéré. " Non ! Je vais bien je n'ai rien sauvez-la ! Sauvez ma mère je vous en prie ! " Ils me demandent de qui je parle et m'assure qu'il n'y a personne avec moi dans la voiture. Et puis soudain j'entends au loin un pompier crier qu'il y a un corps au pied de l'arbre. Ma mère est passée par le pare brise et a fait un vol plané de plusieurs mètres. Lorsque les sauveteurs la retrouve il est déjà trop tard. On m'emmène à l'hôpital où je reste plusieurs jours à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je ne peux pas croire que j'ai tué ma mère. Comment ai-je pût faire ça ? Bien entendu tout le monde m'assure que c'est la faute du chauffard qui arrivait en sens inverse mais pour moi c'était ma faute. Elle ne voulait pas que je roule si vite et pourtant je ne l'ai pas écoutée et maintenant elle est... partie.
" Monsieur Afont nous vous avons posé une question repondez-y je vous pries. " " Je n'en sais rien je vous l'ai dit une vingtaine de fois déjà ! " Je retiens mes larmes comme je peux mais avec beaucoup de difficultés. Le policier face à moi me pose pourtant une question simple. Est-ce que ma mère portait sa ceinture ? Cette question était tellement simple et pourtant je n'arrivais pas à me remémorer cette nuit-là. Je réponds qu'elle mettait toujours sa ceinture, qu'elle était toujours prudente et du genre à regarder deux fois à gauche et à droite avant de traverser la rue, qu'elle ne fait... faisait jamais rien d'imprudent et que les conneries c'est moi qui les faisais pas elle. Pourtant elle à quand même finit dans l'herbe inerte. Je finis par fondre en larme dans la salle d'interrogatoire et ne peut me souvenir de ce qu'il c'est passer ce soir-là. Une fois rentrer à la maison je me repasse la scène encore et encore cherchant à savoir si elle aurait pût oublier de la mettre. Puis quelques jours plus tard on me ramène ma voiture passée au crible par les experts et je passe moi-même les moindres détails et arrive à prouver qu'elle portait en effet sa ceinture mais que le loquet c'est débloqué sous l'effet du choc. Un défaut dans la fabrication de ma Chevrolet. J'aurais pût porter plainte contre la marque. J'aurais certainement dût étant donné que le chauffard avait pris la fuite personne ne payerait les dégâts mais au fond je m'en fichais. Que quelqu'un paye une nouvelle voiture ou non ça ne ramènerait pas ma mère. Non elle était partie et rien ni personne ne pourrait me la ramenée. Ni de l'argent, ni les larmes que je pouvais verser. Rien. Lorsque je suis rentré à la maison il y avait tous nos voisins des gens qui connaissaient à peine ma mère, d'autres qui ne l'appréciait même pas, les parents de Noom, des voisins dont nous étions proches, des amis, la famille. Je suis monté dans ma chambre sans un mot me réfugier dans mon espace a moi pour pouvoir réfléchir.
Bien entendue à peine la porte fermée voilà que je sursaute en entendant la voix de Noom. Non mais j'aurais rêvé si j'avais imaginé un instant qu'il ne soit pas là pour me réconforter. [color=#696969]" Noom s'il te plait rentres chez toi j'ai pas besoin de la pitié des gens et encore moins de la tienne. " Je m'allonge sur mon lit sur le dos en posant un bras sur mes yeux et soupire en sentant le poids plume de mon meilleur ami venir s'ajouter au mien sur le matelas. Je garde mon bras sur mes yeux et marmonne. [color=#696969]" Je suis sérieux Noom fiches le camp d'ici s'il te plait. " Je commence à rager en voyant qu'il ne bouge pas d'un pouce et je retire mon bras avant de tourner la tête vers lui en soupirant. [color=#696969]" Tu fais chier Elington sérieux. " Je lève les yeux au ciel devant son sourire et pose mon regard sur le plafond avant de soupirer de nouveau et de poser ma tête sur son épaule. Il me serre dans ses bras et je finis par fondre en larme contre lui. J'ai mis plus d'une heure et demie avant de m'endormir dans ses bras plus épuisé que rassuré mais je ne me suis pas reposé longtemps au bout de quelques minutes seulement je me réveille en sursaut en cherchant partout après ma mère avant de me souvenir de l'endroit où je me trouve et de pourquoi mes yeux sont gonflés. Je me laisse retomber en arrière et regarde mon meilleur ami qui me sourit et sèche mes dernières larmes son visage étrangement proche du mien. Je ne sais pas trop qui a avancé le premier je crois que c'était un geste commun mais soudain nos lèvres se sont rencontrées et nous nous sommes embrassés. Le baiser était doux, calme même si mon coeur battait plus rapidement que jamais. J'ai serrer le corps de mon meilleur ami contre le mien avant de le repousser et de lui dire de partir. Cette fois il à obéi même si je voyais bien qu'il n'en avait aucunement envie. Je me suis écroulé à nouveau sur mon lit en me promettant de ne plus pleurer pour personne même le jour de l'enterrement et de devenir pus fort.
Les jours sont passés et je refusais de voir qui que ce soit même Noom. Surtout Noom. Je tournais en rond dans ma chambre, je passais mon temps à repenser à ce baiser échangé. Il m'arrivait de passer mes doigts sur mes lèvres et d'avoir l'impression d'y sentir à nouveau celles de mon ami. Je ne voulais plus rien faire c'est à peine si j'allais encore en cours. Mais je devais le faire. Pour ma mère. Il fallait que j'obtienne mon diplôme et que je devienne instituteur. Pour elle. Alors je me suis relever doucement même si je n'ai jamais remonté complètement la pente j'ai réussis mon année, passer mon diplôme, devenue instituteur dans la petite école pas loin de chez moi. Ma vie n'a plus jamais été la même après ça je n'ai pas revu Noom depuis le jour de la mort il y a de ça deux ans maintenant. Il a bien tenté de venir à la maison et de me consoler mais je le repoussait sans cesse. Je n'ai pas envie de le voir. Je sais pourtant qu'il comprend ma peine et ma douleur mais rien n'y fait. Je ne veux personne dans ma vie. Personne de qui je puisse m'attacher, personne qui pourrait me faire souffrir ou me rendre malheureux à nouveau. Je ne dois plus laisser personne entrer dans ma vie. Aujourd'hui je suis entouré de bouts de chou chaque jours, je rentre à la maison et en ressors presque aussitôt pour traîner dans les bars de la ville. Pas spécialement pour boire mais plus pour m'amuser, m'évader, me laisser aller un peu. Je ne suis ni heureux ni malheureux ma vie ne me conviens pas réellement mais en même temps c'est ma vie. Que faire d'autre après tout ?
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- Spoiler:
PRÉNOM/PSEUDO ▲ pechOutte PRÉSENCE ▲ 7/7 QUELQUE CHOSE A DIRE SUR LE FORUM ? ▲ J'ai pas demander pour le deuxième compte c'est grave docteur ? COMMENT L'AS-TU CONNU ? ▲ Je suis Jeff CÉLÉBRITÉ ▲ Tyler Hoechlin CODE ? ▲ Ok (a) AUTRE ? ▲ love R5 ♥
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La Vida Loca
| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 0:05 | |
| NAMOUUUUUUUUUUUUUUUUUR |
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E. Bluebell Santiago
La Vida Loca ◮ messages : 678 ◮ date d'inscription : 09/01/2012 ◮ âge : 25 ans ◮ métier : Gérante d'un magazin de prêt à porter ◮ logement : Sur de Barcelona
| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 14:07 | |
| Bienvenue sur ETB
Merci de ton inscription et super choix d'avatar (a)
T'en fais pas pour le DC, il n'y a aucun souci, vous êtes des membres fidèles :)
Ta fiche est bien terminée je pense ? :) |
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| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 18:00 | |
| Merciiiii oui elle est finie ^^ |
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E. Bluebell Santiago
La Vida Loca ◮ messages : 678 ◮ date d'inscription : 09/01/2012 ◮ âge : 25 ans ◮ métier : Gérante d'un magazin de prêt à porter ◮ logement : Sur de Barcelona
| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 18:01 | |
| Et bien je te valide alors (a) Tu connais déjà le chemin à suivre, alors je te laisse faire ! Amuse toi bien - de nouveau - parmi nous |
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| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 18:03 | |
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Invité Invité
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| Sujet: Re: Show must go on Sam 14 Juil - 22:27 | |
| encore un couple gay ??? ... x( pas très original XD bienvenue quand même les gars ^^' amusez vous bien et bon choix pour Tyler ;) il rocks (encore plus quand t'es devant lui en vrai hein Blue !!! *-*)
on se fera des liens ;) xxxxx |
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| Sujet: Re: Show must go on | |
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