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La Vida Loca
 |  Sujet: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 13:30 | |
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Pâris Esteban Gonzalès
Am I better off dead ? Am I better off a quitter ? They say I’m better off now, than I ever was with her. As they take me to my local down the street. I’m smiling but I’m dying trying not to drag my feet
❧ ONCE UPON A TIME. NOM(S) ▲ Gonzalès. PRÉNOM(S) ▲ Pâris Esteban. SURNOM(S) ▲ Rare sont ceux qui le surnome. ÂGE ▲ 27 ans.DATE DE NAISSANCE ▲ 21.06.1985. LIEU DE NAISSANCE ▲ Madrid. ORIGINE ▲ Espagnole et anglais. STATUT CIVIL▲ Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE▲ Hétérosexuel. METIER ▲ Professeur dans une école d’architecte et écrivain à ses heures perdues. GROUPE ▲ Sangria.
❧ PRETTY LITTLE LIARS.
Depuis que la femme qu'il considérait comme l'amour de sa vie l'a quitté, Pâris ne croit plus en l'amour et aux femmes. Pour lui, elles sont toutes pareilles, hypocrites et manipulatrices. • Impulsif • Il a vécu jusqu'à l'âge de vingt-cinq ans à Londres • Durant toute son enfance et son adolescence, le jeune homme n'a jamais réussi à tenir tête à son père, ce n'est que lorsque son frère aîné a perdu la vie que Pâris a osé dire non à son père et la quitté lui et ses magouilles. • Sportif • Secret • Joueur • Dragueur • Il vient d'une famille très riche et respectée. Son père a blanchi énormément d'argent. Pâris a travaillé un certain temps pour lui aux côtés de son frère • Cultivé • Le jeune homme adore les orages et la pluie • Étant une vraie pile électrique, Pâris fait régulièrement du sport pour se défouler et se changer les idées • Attachant • Après avoir laissé son père et ses trafics, Pâris a quitté Londres et est partie explorer le monde avant de finalement s'installer à Barcelone • Il rêve d'un jour écrire un livre • Le jeune homme ne supporte pas les gens qui le voient comme un fils à papa pistonné. Pour lui une chose est sûre, il n'est pas et ne sera plus jamais la marionnette de son père. • Il adore les chiens et a peur des pigeons, même s'il ne l'avouera jamais. • Malgré sa carapace de mec sur de lui et froid, Pâris est un grand sentimental • Souriant • Fier • Arrogant • Débrouillard • Grand colérique il lui arrive très régulièrement de se battre • Il ne s'est jamais remis du départ de celle qui allait devenir sa femme. Depuis, il enchaîne les histoires d'un soir et bois beaucoup. •Rusé • Lorsqu'il est stressé il se gratte la nuque. • Il adore chanter sous sa douche à six heures du matin rien que pour faire enrager ses voisins • Il a toujours été très protecteur envers sa mère et sa petite soeur • Bagarreur • Grand séducteur, Pâris n'hésites pas à user et abuser de ses charmes pour obtenir ce qu'il veut. • Jaloux • Malgré le fait qu'il ait coupé les ponts, son père reste toujours très influent envers le jeune homme. Pour lui on ne peut renier sa famille sans en payer le pris fort • Sensible • Il est claustrophobe et ne peut tout simplement pas supporter les endroits clos • Protecteur • Très rancunier • Malgré le fait qu'il vive à Barcelone, Pâris a toujours soutenu le Real Madrid. • Manipulateur.
❧ TIME AFTER TIME.
- Allez mon amour, tu y es presque.
La jeune femme aux longs cheveux bruns allongée dans le lit paraissait au bord de l’évanouissement, et pourtant elle souriait. D’un sourire rêveur et remplit de joie à la fois. C’était sans doute le plus beau jour de sa vie, plus beau même que celui de son mariage avec l’homme, dont à l’instant précis elle broyait littéralement la main. Lui aussi avait un grand sourire aux lèvres. Il allait être là, enfin ! Après neufs longs moins d’attente, il pourrait enfin voir son petit bout. Dans un dernier hurlement Jenny Gonzalès mis au monde son premier enfant.
- C’est un beau petit garçon, hurla la sage femme qui emballait déjà le nourrisson dans une serviette. Félicitations !
Son collège se chargea de déposer le nouveau né dans un berceau et de noter la date et l’heure de la naissance. 21 Juin. 02h02 Dehors, la nuit était tombée sur Madrid. Le ciel était particulièrement beau ce soir, on pouvait y voir des millier de petites étoiles scintiller. Un sourire radieux aux lèvres, l’Infirmière déposa délicatement le nourrisson dans les bras de la jeune femme allongée dans le lit.
- Vous avez fait un très beau travail, il est vraiment magnifique, mais dîtes moi comment allez-vous l’appeler ?
La mère et le père échangèrent un regard complice et reportèrent leur attention sur leur enfant. Enrique posa un léger baiser sur le front de sa femme avant de glisser son doigt dans la petite main de son fils. Il murmura un simple : « Pâris Gonzalès» Sa femme qui n’avait pas quitter le petit garçon qu’elle tenait dans ses bras du regard sourit gentiment.
- Pâris Esteban Gonzalès.
La sage femme sourira à son tour, touchée par la petite famille.
- Bienvenue parmi nous Pâris...
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Un bruit de porte refermée. Pâris releva lentement la tête et essuya d'un geste rageur la larme solitaire qui roulait sur sa joue. Son regard croisa celui de son père qui vint s'asseoir à ses côtés sur le carrelage froid de leur salle de bain, le dos appuyé à la baignoire. Pâris tourna la tête et fixa un point invisible contre le mur. Il n'avait rien à lui dire, il ne voulait rien lui dire. Son père n'avait rien à faire là. Tout ça c'était leur faute à lui et à sa mère, leur faute. Eux, ces sales égoïstes qui ne pensaient qu'à l'argent avec leurs putain de conneries. Tout ça c'était sa faute à lui. L'homme qui avait entraîné ses deux fils dans ce réseau ou ils étaient tous autant pourri les uns que les autres. Le jeune homme poussa un soupire et ferma les yeux. Après quelques secondes il entendit son père se racler la gorge et poser une main sur son épaule. Son regard n’exprimait aucune émotion et pourtant ce n'était pas ça qui chamboulait Pâris avec le temps il s'était fait à l'idée que son père n'était qu'un monstre sans cœur. Non ce qui tuait littéralement le jeune homme c'était la venue de son père ici. Il était venu le chercher pour faire bonne figure auprès des invités.
- Me touches pas... lâcha-t-il sèchement en repoussant la main de son père. Me touches plus...
Leur faute, entièrement leur faute. Comment osait-il encore regarder son fils dans les yeux avec ce qui venait de se passer ? Ils n'avaient rien remarqué à l'état de Damian rien... Pâris posa son regard sur son père.
- Pâris... je sais que c'est dur, mais dans l'intérêt de la famille il ne faut être... discret. Ton frère avait...
Le dénommé Pâris se releva d'un bon et lança un regard noir à son père.
-Il avait quoi hein ? T'ose même pas le dire bordel ! T'as même pas les couilles de dire que ton fils avait besoin d'aide ! T'a jamais été là, jamais. Des cadeaux ça suffit pas tu vois, nous on avait besoin de nos parents ! Alors arrête de faire comme si tu le connaissais. Tu le connaissais pas Damian, tu connaissais pas ton propre fils, t'était bien trop occupé à compter ton sale fric ! Et ose dire à tes amis qu'il avait des problèmes et qu'il aurait eut besoin d'aide ! Assume ! Assume ce qu'il a fait... Cracha-t-il avant de quitter rapidement la pièce.
Pâris se dirigea vers sa chambre à grands pas agité par les sanglots. Il ne pouvait rester ici, l'absence de sa présence était trop douloureuse. Voir son visage sur toutes les photos était douloureux, tous ces gens en costumes et en robes noires dans le salon était trop douloureux à voir. Voir ses parents mentir, dire que c'était un accident alors qu'ils savaient parfaitement que leur propre fils s'était ouvert les veines était trop douloureux. Pour son frère il allait se battre contre l'emprise de se père froid et manipulateur, contre ceux qui étaient sous ses ordres et qui tenteraient assurément de l’empêcher de partir. On ne quittait pas la famille Gonzalès en un claquement de doigts malheureusement...
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- Pâris... ne part pas, tu n'en es pas obligé tu sais...
Le jeune homme releva les yeux et croisa le regard scintillant de sa petite sœur. Avec un soupire le jeune homme déposa un habit de plus dans sa valise. Partir était essentiel, vital. Pâris ne pouvait rester un jour de plus dans cette famille, dans ce climat, dans cette ville. Le jeune homme ne supportait plus les cris, les regards de son père, il ne supportait plus les altercations et le chagrin de sa mère qui impuissante, regardait les deux hommes de sa vie s'entre déchirer après la perte d'un de ses fils. S'il l'avait pu, Pâris serait parti définitivement bien plus tôt. Il ne voulait plus entendre parler de son père et de ses magouilles, il ne voulait plus lire la déception dans les yeux de son père. Il s'était fait entraîné par son père et surtout par son frère. Pourtant depuis la mort de ce dernier les choses avaient changées. Tout cet argent, ce trafique de drogue, Pâris avait comprit qu'il devait fuir avait de finir sous terre comme son frère. Peut importe les conséquences il devait laisser son père et son argent sale loin de lui. D'un geste brusque, Pâris ferma sa valise et s'assit sur son lit, son regard bleu azure se plongea dans celui de Silvia qui baissa les yeux. Il était un homme, il devait partir, fuir Londres fuir l'Angleterre.
- Arrête Silvia, tu sais très bien que j'ai pris ma décision. Je pars et c'est comme ça. Ha non hein ! Tes yeux de chiens battus ne pourront rien y faire. Je n'ai pas le choix... je ne compte pas reprendre ses magouilles de mafioso... Son argent sale il peut se le garder, j'veux plus de cette vie, j'veux pas finir comme lui...
Silvia vint s'asseoir à ses côtés et appuya sa tête contre l'épaule de son grand frère qui passa un bras autour de ses épaules. A l'unissions ils poussèrent un lourd soupire.
- Maman dit que s'il a fait tout ça, c'était pour nous Pâris, pour qu'on ne manque de rien... Tu reviendras me voir hein. Et ce n'est pas une question. Tu as meilleur temps de donner des nouvelles sinon je te retrouverai et viendrai te rejoindre, majeur ou pas !
Tout en riant, Pâris déposa un baiser sur le front de sa petite sœur. Après avoir reculé de quelques pas, il balaya une dernière fois la pièce du regard.
- Prends soi de toi et veille sur maman d'accord ?
Avec un dernier sourire pour sa sœur, le jeune homme sorti de sa chambre un léger sourire accroché aux lèvres. La vie ne faisait que commencer. Le monde entier l'attendait, des pays et des cultures les plus exotiques les uns que les autres. Libre, enfin libre....
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Pâris s'appuya contre le mur, le regard fixé sur le papier qu'il tenait à la main. Doucement le jeune homme se laissa glisser le long de la paroi froide et finit assit sur le parquet de son salon le regard vide, rempli de larmes. La lueur qui l'habitait depuis si longtemps s'était éteinte les rendant ternes, vide. Le jeune homme fixa une nouvelle fois le papier, l'estomac serre. Était-elle vraiment partie ? L'avait-elle vraiment fait ? Le quitter, là, à peine quelques jours avant le mariage, après tout ce qu'ils avaient vécu, traversé ? Le pire n'était de s'imaginer la vie sans elle pour Pâris, le pire c'était ces trois mots. C'est trois foutu mot inscrit à la fin de son message qui expliquait pourquoi elle fuyait. Il n'en voulait pas de son amour éternel si pour elle ça signifiait vivre loin de lui. Il n'y arriverait pas, lui, à quitter la personne qu'il prétendait aimer jusqu'au dernier souffle, au dernier battement de cœur. Cœur qu'il n'avait plus, qu'il ne sentait plus battre comme avant, lorsqu'il avait franchi la porte de son appartement un sourire accroché aux lèvres à l'idée de la retrouver. Cœur souillé, maltraité, brisé. Pâris ferma les yeux et froissa le papier qu'il jeta à quelques mètres de lui. Tout en se passant la main dans les cheveux, le jeune homme prit une grande inspiration et essuya d'un geste la larme solitaire qui roula sur sa joue.
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- Spoiler:
[justify][size=10]PRÉNOM/PSEUDO ▲ Tchoupi. PRÉSENCE ▲ 6J/7 QUELQUE CHOSE A DIRE SUR LE FORUM ? ▲ Sa moman comment qu'il est beauuu! COMMENT L'AS-TU CONNU ? ▲ Google est mon ami? CÉLÉBRITÉ ▲ Jamie Dornan. CODE ? ▲ Ok by BluebellAUTRE ? ▲ 
Dernière édition par Pâris E. Gonzalès le Dim 5 Fév - 19:47, édité 8 fois |
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E. Bluebell Santiago
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 13:34 | |
| Un BG de plus mouahaha  Bienvenue et bonne chance pour ta fiche, n'hésites pas si tu as des questions :D |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 13:40 | |
| SOPHIA  Merci bien  |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 13:54 | |
| Welcoooooome :D Bon courage pour ta fiche :) et n'hésite pas en cas de problème le staff est là :D |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 14:15 | |
| une arrivée d'une bombe il nous faudra absolument un lien. bonne chance pour ta fichounette. |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 14:31 | |
| ooooh *-* mon chasseur ♥
Bienvenue à toi, bonne chance pour ta fiche, hâte de voir ce qui nous attends x) |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 16:33 | |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 17:56 | |
| NIHAN ! Merci beaucoup, vous êtes tous des amours  Lemon je te garde un liendelamortquitue parce que Nina quoi  |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 19:12 | |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 19:48 | |
| Merci J'en profite pour annoncer que je pense avoir terminé ma fichounette, s'il faut modifier quoi que ce soit dîtes seulement  |
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E. Bluebell Santiago
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 19:50 | |
| Je crois que je n'ai qu'une chose à dire : Parfait (a) Tu es validé avec plaisir ! :D Tu peux maintenant te charger de recenser ton avatar, créer ta fiche de lien et de topics, inventer des scénarios si tu as besoin et tout le tralala  |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 20:02 | |
| Je file faire tout ça |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 22:09 | |
| oh cool félicitations !! je vais venir te voir pour un lin moi tiens ;) |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 23:09 | |
| Une nouvelle recrue (bombe) chez les Sangria? Grrrrrrrrrrrr!
Bienvenido Muchacho! |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS Dim 5 Fév - 23:10 | |
| PS: Je suis FAN de ta citation. The Script ♥ ! |
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| | Sujet: Re: We were born to die ϟ PÂRIS | |
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